Jugé ringard, le slow n’emballe plus les foules
Libération
juillet 2004
«Chaque homme naît libre et égal en slow.» Celui qui souhaite inscrire le slow dans la déclaration des droits de l’homme est Christophe Bertin, «citoyen slowène» de 42 ans, nègre, scénariste et amateur de canulars. Lancé sur Internet, son SOS «Save our slow» prône la création d’une section «slow» au baccalauréat ou le transfert des cendres de Joe Dassin au Panthéon.
Pour populariser cette grande cause, quelques aficionados ont organisé des happenings : distribution de tracts dans des soirées branchées de l’Est parisien, remix de slow technoïde au Queen, boîte des Champs-Elysées. Le constat est alarmiste : «Malgré ses indiscutables vertus pacifiques, le slow est menacé de disparition.» La majorité des clubs des grandes villes françaises l’ont rayé de leurs play-lists. Mais le slow trouve encore asile dans les mariages, bals de village, soirées d’entreprise, boums, thés dansants… et quelques clubs libertins.
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